josh blog
Ordinary language is all right.
One could divide humanity into two classes:
those who master a metaphor, and those who hold by a formula.
Those with a bent for both are too few, they do not comprise a class.
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Vraiment bien journée là-bas aujourd’hui: le soleil, l’air clair. Bonne conversation avec L. Pas trop froid, même après longtemps.
Les échecs nous permettent de nous améliorer, dit le leçon. Super. Alors je devrais vouloir échouer plus souvent?
Chaque jour, les mêmes choses. Sauf maintenant, plus profondément dans Bergson.
Le journal quotidien, encore. Hier je suis allé au café, mais il y avait du monde. Alors j'ai pris ma boisson chaude dehors et portais des gants épais. L'air etait bon et froid.
J'ai été occupé avec des groupes de lecture. Hier soir, le groupe qui parle de cinéma, et ce matin, le groupe Sellars (mon nom privé pour cela, après notre première lecture), dont la lecture est encore Gadamer. On a lu des phrases qui ont suscité un peu de discussion. En français: l'effect de la catastrophe tragique est de dissoudre la disjonction d'avec ce qui est. Elle opère la libération totale du cœur contraint. Cela fit plaisir à T.
Mangé du poulet et du riz, et ecouté De La Soul et Carcass, entre autres.
Resté à la maison. Encore le curry, des leçons, des burritos, mais aujourd'hui, écouté Tricky toute la journée et toute la nuit. Le soir, le club de télé. Lu un chapitre de Stendahl, et encore de Rodowick.
Le journal quotidien: pour le petit déjeuner, le curry avec du riz. Lu plusieurs pages de Bergson. Ecouté Niun Niggung et Thin Lizzy. Le linge. Travail sur le manuscrit, le Ier chapitre. Pour le dîner, des burritos. Quelques leçons de français. La nuit, Monk—et ces mots. Puis lisant Rodowick. Et un peu de télé, comme d'habitude. Avant de dormir, peut-être Fantômette, si pas trop fatigué.